Message personnel

Message personnel : la personne à qui ce message est adressé sait qui elle est, les autres passez votre chemin, si vous voulez m’écrire il y a le formulaire dans la page « Contact » de ce blog et vous pouvez aussi trouver mon adresse email et m’écrire à partir de mon profil LinkedIn. C’est tout. 

Circulez, il n’y a plus rien à voir.

 

Le reste est pour toi donc. Si tu n’es pas d’humeur passe ton chemin aussi, ce n’est pas la peine. Si tu es d’humeur, lis : je suis toujours au même endroit, à la même adresse à Berkeley Heights, New Jersey, au même numéro de téléphone. Je suis dans l’annuaire, white pages. Mon email a changé mais il y a ce formulaire sur la page « Contact » de ce blog, qui l’envoie à mon adresse et sinon mon email est sur mes autres sites Internet sans besoin de faire une recherche Google : vas sur la page « Ailleurs sur Internet » de ce blog et tu trouveras un lien vers mon site photo SmugMug où tu trouveras une adresse email actuelle et valide. 

Je n’ai pas de Facebook et autres fariboles et je n’en aurai pas, à part ce blog, mon site Internet de photos, LinkedIn et Flickr il n’y a rien d’autre, ça ne m’intéresse pas.

 

Assez pour la technique, de toute façon de nos jours c’est facile. En fait c’est difficile voire impossible d’être introuvable.

 

Sinon que dire, que te raconter, il y a trop, cela fait trop longtemps. En résumé, en un mot comme en cent, la quintessence du truc, je n’ai pas oublié, ni toi ni ce temps-là. C’est pour ça que je disais passe ton chemin si tu n’es pas d’humeur. Je ne suis pas maso, je ne tends pas l’autre joue. Pas d’humeur, tu t’en vas sans rien dire, je ne saurai même rien de ton passage, à moins de se déclarer ou de s’abonner c’est complètement anonyme. Il est toujours temps…

 

Si tu es toujours là, je disais que je ne tends pas l’autre joue. 

Je continue donc, puisque l’on peut supposer que si tu lis jusqu’ici c’est que tu es d’humeur. Je voulais raconter ce qui s’est passé depuis tout ce temps mais c’est trop long il y a trop à dire, ce n’est pas le but d’une page, sur un blog public qui plus est. 

Et puis pour savoir ce que je suis devenue, il te suffira de lire mes livres et il y a ce blog et mes galeries photo sur SmugMug. Et mon profil LinkedIn qui donne une chronologie « professionnelle » du moins. Ça ne fait qu’effleurer bien entendu. Ce qui donne le plus le cœur des choses, ce sont mes écrits dont ce blog.

 

Et un autre : j’ai imbriqué dans ce blog-ci, mon blog d’écrivain, un autre blog, romancé celui-ci, une histoire de fiction comme on dit ici, ce qu’on appelle un roman en France ; tu y retrouveras des bribes de ma vraie vie mélangée à des histoires inventées. Ce blog s’appelle « Dorothy et Lorelei — le blog de Lorelei », tu es la seule personne à savoir pourquoi et à en comprendre la raison ou l’inverse. Du moins tu sais à quoi ça correspond et à quoi ça fait référence. Un message codé en quelque sorte. Qui fera un bon roman, c’est toujours comme ça que ça se passe, on part d’un petit fait réel et on finit dans un univers complètement imaginaire. Enjoy, comme on dit ici, tu y trouveras des réponses à tes questions et des questions à tes non-réponses, ceci est un clin d’œil tu sais doublement à quoi je fais allusion. Doublement.

 

J’écris pour deux, littéralement, enfin tu comprendras en lisant le blog de Lorelei, il n’y a que toi qui pourras en apprécier tout le sel en fait. Si d’autres le lisent, et j’espère qu’il y en aura d’autres, ils passeront un bon moment comme quand on est pris dans un bon roman. On n’est pas obligé de connaître la vie de l’auteur pour apprécier un roman. Il est vrai que quand on la connaît on l’apprécie d’autant plus, il y a une compréhension à un autre niveau.

 

Comme tu peux voir, je pratique l’écriture et la photographie, intensément. Je te l’avais dit. Que je deviendrais écrivain. Que je me remettrais à la photo. Écrivain c’est en grande partie pour toi et entièrement grâce à toi que je le suis devenue. Tu as été la première personne qui a lu mes écrits littéraires et la seule pendant un moment, à les lire. Enfin tu sais tout ça. La photo, c’est pour moi ; une respiration entre les écrits, certaines fois la photo précède les écrits, souvent elle sert de note sur le vif pour de futurs écrits.

C’est fait, c’est en cours et c’est toujours à faire, des projets dans ces deux domaines. Et je suis toujours là comme tu peux voir aussi. Je suis toujours là pour toi et le serai toujours, cela je te l’avais dit aussi et j’ai tenu parole, je tiens parole. Ça tu le sais aussi. Je fais toujours ce que je dis et j’écris ce que je fais.

 

Qu’est ce que tu croyais, un écrivain ça écrit, à défaut de T’écrire à TOI, un écrivain ça écrit ça n’arrête jamais d’écrire. L’essentiel c’est d’être lu par au moins une personne peu importe qui, si ça la touche ça aura valu le coup.

 

Indéniablement ça aura valu le coup.

 

J’arrête là ce message personnel, qui est à la fois trop long et pas assez, qui en dit trop et ne dit rien. La suite ce sera ailleurs et à un autre moment.

 

Et peut-être à bientôt dans le blog de Lorelei :

 

http://dorothyetlorelei.wordpress.com

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